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Si l'État était une entreprise…

Mardi 28 octobre, le journal Le Nouvel Economiste citait les propos rapportés de Jean François Bauer, auteur à la Fondation iFRAP.

Quel serait le sort d'une entreprise dont le passif serait le double de son actif, les pertes d'exploitation égales à 25 % de ses recettes, et les frais financiers le premier poste de dépenses  ? Il n'est pas besoin d'être un expert-comptable chevronné pour deviner qu'une telle entreprise n'aurait aucune chance de survie. Eh bien cette situation si catastrophique, c'est exactement celle de l'État français, qui affiche une dette publique de 2000 milliards d'euros, un déficit budgétaire de 75 milliards et une charge d'intérêt de 41 milliards. “Dans le monde réel des entreprises, jamais une société ne serait arrivée à une telle extrémité car les banques lui auraient fermé les crédits bien avant”, analyse Jean-François Bauer, expert à l'iFRAP. À l'aune de la vie courante des affaires, le jugement concernant la sphère publique française et son fonctionnement serait en effet sans appel  : à la fois économiquement non viable et sans espoir de redressement

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