Presse

La maladie de l'arrêt

L'éditorialiste Jean-Francis Pécresse cite la Fondation iFRAP dans un article du journal Les Échos sur l'absentéisme maladie dans la fonction publique.

« Grands seigneurs, État, collectivités locales et hôpitaux, rémunèrent l'arrêt de travail comme le travail. Un fonctionnaire malade restant un fonctionnaire, il conserve, dès le premier jour, l'intégralité de son traitement… Bons princes, ces employeurs se gardent bien de contrôler, ou si peu, la réalité de ces pathologies qui présentent l'originalité de ne pas varier avec la conjoncture. Nul ne sait le coût de ces journées perdues, que le think tank iFRAP évalue à une dizaine de milliards d'euros l'an. Depuis septembre, une expérimentation permet aux caisses primaires d'assurance-maladie de contrôler les arrêts de travail des fonctionnaires de l'État. C'est la première voie à suivre, car il y va du bon usage de l'argent public. »

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